Les influences de la lune - S. MAYORCA

«Les Anciens connaissaient bien les cycles de la Lune qu'ils ont symbolisés de cette manière duelle dans leurs mythologies et dans leur sagesse ésotérique. Surtout, ils calculaient les dates des rituels en fonction des différentes phases de la Lune. Rites qu'ils accomplissaient, selon les cas, pour s'attirer les faveurs (c'est-à-dire l'énergie) de l'astre de la nuit afin d'en capter les pouvoirs. En effet, toutes les traditions ésotériques associent l'âme à l'eau et à la divinité. Si l'homme veut connaître le divin, il doit passer par l'intermédiaire de la Lune, en détourner les pièges animistes, puisqu'elle commande aux eaux, et il doit sauver son âme comme un naufragé sur un vaisseau. Voilà pourquoi on associe Isis et Myriam à un vaisseau et pourquoi, toujours, on les place sur un croissant de Lune. Elles sont l'emblème de notre âme, qui désormais domine les eaux du chaos, règne de Lilith la trompeuse, la Lune noire et les tient sous son contrôle.
Dans un monde où tout est fait pour endormir les âmes, celui qui se bat pour les éveiller a beaucoup de mérite. Et Mayorca remplit ce rôle comme un véritable guerrier spirituel, avec noblesse et efficacité. Connaître les influences de la Lune signifie oeuvrer en accord avec le divin, se soumettre à la Lune signifie, au contraire, que l'on s'est rendu aux Archontes, aux vampires de l'âme. L'oeuvre précieuse de mon ami Mayorca est donc la bienvenue dans la revue mensuelle que je dirige : HERA, mythes, civilisations disparues, mystères archéologiques. Ce n'est qu'en accédant à la connaissance - que l'auteur met, de manière admirable, à la disposition de chacun d'entre nous -, ce n'est qu'en soulevant les sept voiles qui recouvrent notre Isis intérieure, que nous pouvons comprendre la valeur de l'existence humaine et les buts auxquels elle peut aspirer.»

Extrait de la présentation écrite par le Directeur éditorial de la revue HERA, mythes, civilisations disparues, mystères archéologiques.